Essentiel Naissance
Suivez-nous
  • Accueil
    • Qui sommes-nous
    • Mission et objectifs
    • Historique
  • Temoignages
  • Futurs parents
    • Choisir Essentiel Naissance
    • Cours >
      • Integrale
      • Serenite
      • Independance
    • Soulagement des peurs et traumatismes
    • Soulagement des nausees
    • Retournement de cas de siège
  • Conférences
  • Professionnels
    • Formations Professionnelles
    • FÉPEN
    • Confidence - Konsciencio
    • Accompagner
    • Inscrition
  • Média
  • Répertoire
  • Contact

Témoignages


Après 2 rencontres Coeur Légé pour les nausées de début de grossesse, je suis une fille transformée!  Je n'ai plus mal au coeur, je mange normalement et je suis de bonne humeur! Grosse transformation. Je te remercie  beaucoup!

M-A Larouche

Voici des nouvelles de la naissance de notre petite Michaëlle. Un résumé de notre expérience en un seul mot : FORMIDABLE ! Quelle différence quand je compare mon état d'esprit lors de mon premier accouchement avec celui de mon second accouchement avec Essentiel Naissance, le jour et la nuit. J'ai été en mesure de garder le focus tout au long du processus ... Michaëlle est sortie toute seule, je n'ai pas eu besoin de pousser une seule fois, tout ça dans le calme, avec le focus sur ma respiration et Jean-Philippe en symbiose avec moi et le bébé. Les sages-femmes n'en revenaient tout simplement pas. Un pur bonheur...Alors je te remercie vraiment. 

Catherine et Jean-Philippe

Tout au long de la grossesse je me suis mise dans un état d'esprit d'une grande disponibilité. Essentiel Naissance m'a beaucoup aidé avec la pratique de visualisation et de respiration. Je ne peux pas dire que je n'ai pas ressenti de douleur lors de l'accouchement, mais tout au long de la grossesse, particulièrement le dernier mois où je pratiquais quotidiennement avec les relaxations hypnotiques et après la rencontre individuelle, j'ai consolidé ma confiance, ma force et ma foi. À l'accouchement, tout mon corps et mon coeur disaient "oui".

Johanne a été une partenaire splendide. Entre les contractions elle respectait mon intériorité et ma concentration, et pendant chaque contraction elle prenait ma main en poussant avec moi. Elle m'a aussi partagé sa satisfaction d'avoir suivi le cours Essentiel Naissance avec toi, elle a bien fait attention à ce que mon néocortex ne soit pas stimulé par des imposteurs ! Nous avions aussi en tête les images des vidéos de naissance qui venaient nous rappeler que c'était possible d'accoucher sereinement. Ce cours, autant par les rencontres que par mes pratiques personnelles, m'a permis de focaliser sur le calme, la beauté de mettre au monde, la force de la femme qui accouche, et qui n'exclut pas nécessairement une certaine vulnérabilité, mais qui fait plutôt partie de la force même. Nous avons aussi été admirablement soutenu par notre sage-femme. Merci Marie !

Isabelle, Johanne et Rose

Je t'écris pour te faire un bref résumé de mon accouchement. Tout d'abord, comme je le souhaitais tant, j'ai réussi mon AVAC !!! Et ce, avec une grande fierté d'enfin connaître le sentiment de mettre au monde un enfant par moi-même. Mon accouchement a été similaire au premier : 18 heures de travail, enflure du col à 5.5cm et décélération de coeur foetal mais le gynécologue de garde m'a laissé 1 heure pour voir si le travail et le coeur allaient se replacer. À leur grande surprise, le coeur du bébé est redevenu super beau et ma dilatation avait progressé, j'étais rendu à 7cm! À ce moment, ils m'ont dit : «Tu l'auras ton AVAC Catherine, tu vas accoucher!» Fait anodin, ce soir-là, nous étions 4 filles en travail, il y a eu 3 césariennes et 1 accouchement vaginal et oui c'était MOI! La formation d'hypnose m'a sans aucun doute aidé à garder espoir et à vivre les contractions une après l'autre avec beaucoup de visualisations. Ton aide m'a permis de tenir le coup et d'apprivoiser la douleur d'une autre façon; de l'accepter. Ce n'est pas sans douleur que j'ai vécu mon accouchement, loin de là...mais cette force, pour traverser ces 18 heures de travail, je l'ai trouvée en moi et la confiance de l'affronter, je l'ai gagnée avec toi. J'ai commencé à avoir des contractions douloureuses et régulières aux 5 minutes à 5h30 le matin du 13 mars et Émy est née a 00h10 le 14 mars et elle est la fierté de ses parents, une belle petite fille en santé de 6lbs11oz mesurant 18.5 pouces, nous nous portons tous très bien, son grand frère l'adore!!! Alors voila mon petit récit et merci 1000 fois à toi pour ton aide, tes informations et ton soutien!

Catherine, Jean-François, Louis-David et Émy

Juste un petit mot pour te dire que j'ai eu un TRÈS bel accouchement, grâce à tes techniques. J'ai fais tout le travail chez moi, quand je suis arrivée à l'hôpital, j'étais dilaté à 9 et demi ! Ça a pris 2 heures et le grand Émile est né, il pesait 7,5 livres et mesurait 20 pouces.
Même le médecin a trouvé que j'étais d'un extrême calme ... il a dit que si tous ses accouchement se passaient comme le mien il serait au paradis! :)

Merci beaucoup et lâche pas ton beau travail!!

Dominique ,Christian et Émile


Bonjour Karine,

J'ai accouché le 14 octobre dernier, (10 jours plus tard que ma date prévue d'accouchement!) et ce fut une expérience magnifique!!!! J'ai attendu les poussées physiologiques et j'ai tellement bien fait!!! La première chose que j'ai dit après avoir expulsé bébé fut : "wow, c'est le plus bel accouchement de ma vie! C'est merveilleux!".... Quelle belle expérience! Bébé pesait 9 livres et 7 onces! 

Jacinthe Arel (troisième accouchement)


Bonjour Karine et Marie!

Je m'appelle Guylaine Perrin. Moi et mon conjoint Yves St-Laurent avons suivi des cours avec Marie. Je vous donne des nouvelles de mon accouchement 2 mois en retard, car je voulais prendre le temps d'écrire mon récit d'accouchement afin de le partager avec vous.

Voici donc mon accouchement de ''rêve''. Comme vous allez le constater, il ne fut pas sans douleur, mais je fus quand même en mesure de trouver la force de le vivre pleinement sans avoir recours à quelque médication que ce soit.

Les infirmières et les résidantes ont été très surprises par le contrôle et la force dont j'ai fait preuve lors des contractions. Elles m'ont dis avoir rarement vu un si bel accouchement, dans le calme et l'acceptation. Oui, il y avait de la douleur, mais je suis très fière d'avoir su garder mon clame, respirer et grogner mes contractions de façon à accueillir dans ce monde mon beau bébé ''essentiel naissance'': Ève Saint-Laurent. Selon les infirmières, je tenais ensuite sur moi un bébé bébé à l'image de l'accouchement. Ma merveille me regardait sans pleurer, on aurait presque dit qu'elle voulait me dire calmement: ça y est maman on l'a fait!

Je partage donc avec vous le souvenir que je veux laisser à mon bébé de son arrivé parmi nous. Je n'ai pas les talents d'une écrivaine, mais ça vient du fond du coeur d'une maman. Merci, car c'est en partie grâce à vous si mon accouchement s'est si bien passé.

Guylaine Perrin
Récit d’accouchement d’Ève

ACCOUCHEMENT MÉDICALISÉ ET TECHNIQUES D’HYPNONAISSANCE : TÉMOIGNAGE DE MA RÉUSSITE

Lorsque je me suis initiée aux techniques d’hypnose pour la naissance par le biais du cours offert par Essentiel naissance, je n’avais pas envisagé l’utilité de cette approche autrement que dans un contexte d’accouchement naturel. J’étais toutefois ouverte à la péridurale bien que déterminée à n’y avoir recours qu’en dernière instance. Bref, je m’étais bien préparée en m’exerçant à la visualisation et à la détente de manière assez assidue et, à 37 semaines et 4 jours, je croyais avoir encore assez de temps pour faire de moi non pas une experte mais du moins une bonne praticienne de l’autohypnose.

C’est à mon rendez-vous de suivi hebdomadaire que je subis le choc de la désillusion : ma pression artérielle était trop élevée et j’avais un haut taux de protéines dans les urines. Diagnostic : prééclampsie sévère. « Vous ne retournez pas chez vous madame, nous devons vous accoucher ». Je n’ai pas besoin de vous dire que je tombais des nues. Étrangement je m’inquiétai de ma valise qui n’était pas prête, de mon plan de naissance qui n’était pas encore écrit, des postures d’accouchement que je n’avais pas eu le temps de pratiquer…Je sentis la panique cogner à la porte de mon esprit. Des semaines de programmation mentale firent toutefois leur effet : panique égale adrénaline qui égale douleur. Dès lors, je commençai à appliquer les techniques d’autohypnose pour ne pas laisser la peur et la douleur prendre le contrôle. Mon corps était emporté dans le tourbillon des protocoles médicaux : piqûres, branchements, sondes…mais moi j’avais déjà le pied dans mon havre de paix aux allures d’une cascade dans une forêt tropicale. Mon chum arriva enfin auprès de moi. Mon amoureux qui avait pris la peine de télécharger en catastrophe sur mon e-pod des heures de musique de détente; mon partenaire qui allait m’aider à protéger ma bulle à travers cette tempête où le mot « naturel » n’avait plus sa place. 

Bébé était encore très haut et je n’étais dilatée qu’à 1 cm. « On part de loin… » nous dit l’obstétricien. Déclenchée artificiellement au Pitocin, on m’avisa que je ne devais pas trop souffrir lors des contractions afin de ne pas faire augmenter davantage ma pression. On me prépara donc à recevoir la péridurale dès que possible mais je savais que repousser cette intervention permettrait à mon bébé de mieux évoluer à travers ce passage forcé. Je voulais vivre mon accouchement, y participer activement. Pendant plusieurs heures, j’appliquai donc l’autohypnose à chaque contraction : je marchai pieds nus sur le sable mouillé par les vagues de la mer; je m’enveloppai d’une couverture anesthésiante; je décontractai mon front, ma mâchoire, mon bassin et mes mains… je réussis ainsi à atteindre 4 centimètres de dilatation avant de me sentir submergée par la force des contractions. Je demandai alors la péridurale, mais ce n’était pas un échec, c’était plutôt une victoire d’avoir pu cheminer jusque là par moi-même. 

La rupture artificielle des membranes, les 2 pieds dans les étriers, la ventouse, le cordon coupé avant la fin des battements du cœur, l’impossibilité d’un contact peau à peau, le séjour 24 heures aux soins intensifs loin de mon fils…toutes ces interventions médicales, ces deuils, cette impuissance devant la nécessité. Et pourtant, grâce aux techniques d’hypnonaissance, lorsque je pense à mon accouchement, j’ai le sentiment de la réussite. Oui, j’ai réussi à m’approprier une partie du processus, à contrôler la peur et la douleur, à créer un environnement empreint de calme en moi et autour de moi malgré tout. C’est ce que j’ai réussi à donner à mon fils pour sa venue au monde le 28 juillet au petit matin. C’est ce qui m’a permis d’être déjà une mère pour mon petit Nicolas.

Véronique Doré Bluteau

QUAND LA NATURE N'EST PAS DE VOTRE CÔTÉ... GARDER SON CALME MALGRÉ TOUT

Bonjour Karine,
Je suis un peu en retard, mais je tenais à prendre quelques minutes pour te donner des nouvelles de mon accouchement.

Le temps passe trop vite avec un nouveau poupon. J’ai accouché le 14 août (37 semaines 2/7), soit quelques jours après la rencontre individuelle sur la libération des appréhensions face à l’accouchement fin juillet.

Le 13 août je suis allé consulter au CHUL pour des démangeaisons sévères sur tout le corps, les résulatats des tests ont confirmé une cholestase gravidique. Étant donné que ce dérègelement au niveau de mon foie était dangereux pour le bébé (arrêt cardiaque), le médecin m’a fortement recommandé d’opter pour un déclenchement le jour même. Je ne m’attendais pas à ça du tout! L’autre option était que je me déplace à l’hôpital aux 48 heures pour faire «monitorer» le coeur du bébé mais je n’étais pas prête à prendre le risque…j’aurais été stressée jusqu’à l’accouchement et qui sait ce qui aurait pu se passer…

Après réflexion et étant donné que mon col était favorable au déclenchement (effacé à 70% et dilaté à 2) on m’a déclenché le jour même au synto vers 16h00.

Le travail s’est très bien déoulé, j’étais calme et en contrôle, une contraction à la fois! J’ai passé beaucoup de temps sur le ballon, j’ai essayé le banc de naissance, le bain, etc…j’avais également mis quelques «tracks» du cours dans mon lecteur mp3. Finalement, j’ai demandé la péridurale à 8 cm (petite dose puisque je voulais continuer de sentir mes contractions lors de la poussée).

Même si je n’ai été complète qu’après 11 heures de travail, je n’ai pas vu le temps passer, Frédéric s’est même permis de sommeiller un peu tellement s’était calme dans la chambre.

Après 30 minutres de poussée, j’ai dû arrêter puisque le coeur du bébé déccélérait et qu’il n’arrivait pas à reprendre une respiration normale, ma petite cocotte était fatiguée.

Finalement j’ai eu une césarienne et la petite est née à 6h14 am. Elle a passé 4 jour en néo sous monitoring et 2 jours supplémentaires à la pouponnière. On voulait s’assurer qu’elle allait bien avant le retour à la maison. J’ai trouvé ça difficile de retourner à la maison sans elle…

Même si ce n’est pas le scénario que nous avions envisagé, je considère que le tout s’est bien déroulé, je suis contente d’avoir fait le travail jusqu’au bout et d’être resté calme et en contrôle puisque si tu te souviens, une de mes appréhensions était de paniquer et de perdre le contrôle.

Je voulais te mentionner que les gens qui m’ont accompagné connaissaient le principe d’hypnonaissance et ils ont été très compréhensifs.

Bref, je voulais te remercier pour tout,le cours Essentiel Naissance m’a grandement aidé à vivre cette expérience dans le calme, je ne sais pas ce que j’aurais fait sans ça et je n’exagère pas!

Je le recommanderais à tout le monde, ce que j’ai déjà fait d’ailleurs. Encore une fois milles merci!

Isabelle et Fédéric

HYPNOSE POUR LA NAISSANCE; UN OUTIL POUR GARDER SON CALME LORS DE L'ACCOUCHEMENT

Bonjour Karine !

Déjà un peu plus de 5 mois que notre chère Émilie est arrivée ! Eh oui, je me suis enfin décidée de prendre le temps de te donner des nouvelles de la naissance de notre petite fille.

Voici l’histoire de mon accouchement… Je souhaitais évidemment le scénario de rêves, mais comme tu nous avais dit, ça n’arrive jamais comme on veut !!!

J’avais convenu avec mon médecin de me faire déclencher à 41 sem et 1 ou 2 jours puisqu’Émilie ne semblait pas pressée d’arriver. J’espérais bien me réveiller en pleine nuit avec des contractions, j’ai tout fait, les positions, la marche rapide, etc, etc… Mercredi le 27 octobre (à 41 sem) à 6h30 LE MATIN (je m’étais endormie vers 5h, première fois que ça m’arrivait)! je reçois un appel du CHUL, j’avais rendez-vous pour le déclenchement le matin-même… j’ai refusé mais je m’y suis rendue pour un monitoring et écho pour s’assurer que bébé allait bien. Le monitoring était A1 (paraît que j’avais des contractions!) mais Émilie n’a presque pas bougé à l’écho (elle bougeait pas le matin tout le long de la grossesse)… le médecin responsable m’a envoyé directement pour le déclenchement, c’était l’urgence, selon lui elle était en danger, ça l’air qu’il voulait me mettre dans une section grossesse à risques mais ce ne fut pas le cas.

Sur le coup, j’ai « capoté », je pleurais, je pensais pas que ça arriverait comme ça. J’ai voulu sortir dehors prendre l’air, me calmer mais les infirmières voulaient pas, j’étais admise alors ! J’ai tenu mon bout (je pense que j’ai jamais été aussi tenace de ma vie) jusqu’à ce que mon médecin (Line Blackburn) me téléphone, je lui ai expliqué la situation, elle m’a dit: yen a pas de problème, prends 30 min, va prendre l’air, je ne te dis pas la réaction des infirmières… enfin quelqu’un pour moi (elle a été super du début à la fin) ! Mon chum (Jonathan) m’appuyait et me laissait aller, voyant que j’étais armée jusqu’aux dents !

En revenant de mon escapade j’étais prête, confiante avec Jonathan qui me tenait la main, qui était là. À 14h00, on y va pour l’oxytocine. Crois-le ou non l’infirmière à mon chevet à accoucher avec hypnonaissance, à la maison de naissance ! Quelle chance j’ai eue, que de bons mots j’ai pour elle. 5 heures plus tard, les contractions étaient très tolérables, je suis passée de 2 à 3 cm, toujours à 50%, je parlais avec l’infirmière et Jonathan et il me passait le masseur dans les cheveux. Je sens un brin de découragement mais je me dis que de 5 à 10 ça peut se faire vite. 3 autres heures, un peu plus intense, j’ai commencé les sons et voilà mon 5 cm. Merci pour le truc du bol de toilette, c’est génial!

Malheureusement, le quart de travail est terminé et l’autre infirmière est arrivée, elle était un peu « by the book ». Elle n’aimait pas que j’aille aux toilettes car j’étais débranchée du moniteur…elle avait peur que je pousse. Je l’entendais dire à Jonathan, il serait tant qu’elle sorte de là ! Ça me passait six pieds par dessus la tête! J’étais là sur le bol, OOOOOOOOOO, OOOOOOO, et je me disais, ça ouvre, ça ouvre, je le sais ! Je suis passée de 5 à 10 cm en 1 heure, j’ai fait le son O jusqu’à la poussée et je respirais profondément entre chaque contraction. 

L’infirmière avait peur que je m’hyperventile, mais voyons donc ! Je l’écoutais pas ! J’ai pensé à la péridurale 2-3 fois je ne te le cache pas, mais c’était tout le temps quand j’étais immobilisée dans le lit. Je me résonnais, j’étais calme, let’s go on continue, c’est une passade, c’est pas du tout ce que je veux. Jonathan regardait sans cesse mon front mes mains ma machoire, j’étais molle. Il était là, sans parler, c’était apaisant.

J’ai commencé à pousser avec ma respiration , à 4 pattes avec les mains sur la tête du lit remonté, au grand dam de l’infirmière, elle tenait vraiment à m’expliquer sa méthode de bloquer la respiration, (ta gueule!) désolé je l’ai pensé ! J’ai dû changer de position à la toute dernière poussée, mes jambes ne tenaient plus… 35 minutes plus tard à 23h34, le 27 octobre 2010, Émilie est déposée sur mon ventre en hurlant sa joie être arrivée et moi je dis : mais c’est déjà fini !!! Ce qu’elle est belle, elle est rose, je la vois encore, plus tard elle montait vers mon sein avec un espèce de sourire (ça me donnait l’impression), wow! Petit coeur d’amour !

Petit pépin pour le placenta, il voulait pas sortir… on m’a fait une rachi (gelée de la taille aux orteils) afin d’aller le chercher manuellement… C’est un détail après avoir eue ma fille en parfaite santé, naturellement. 2 heures plus tard, je marchais vers notre chambre avec ma petite famille…

Tout a été vécu si intensément, dans un grand calme, avec une force dont je ne pensais pas avoir en moi ! Je ne pourrais pas oublier ce grand jour, merveilleux ! Merci pour ce que tu nous as enseigné, pour ta générosité, merci Karine ! Le 4 avril 2011

Émilie
Accès Zone Éducateurs et Partenaires
Essentiel Naissance© - Tous droits réservés - Mars 2013 / Crédits photo Sue-Helen Bossé